Francéole, en redressement judiciaire, a jusqu'au 24 juillet pour trouver un repreneur
Le fabricant de mâts éoliens métalliques mis en redressement judiciaire depuis le 17 mai a obtenu nun délai jusqu'au 24 juillet pour trouver un repreneur pour sauver ses 160 emplois répartis à Longvic, près de Dijon (Côte-d'Or), et au Creusot (Saône-et-Loire). le 27 juin, première date butoir, aucune offre n'avait été déposée.
Mis à jour
07 juillet 2017
Aucune offre de reprise pour Francéole n'était déposée mardi 27 juin, indique France Bleu Bourgogne. Il s'agissait de la première date butoir pour le fabricant de mâts éoliens métalliques en redressement judiciaire depuis le 17 mai. Pourtant, "des discutions seraient toujours en cours", croit savoir la radio locale. L'objectif de Francéole est de trouver un repreneur afin de maintenir ses 160 emplois répartis sur les sites de Longvic, près de Dijon (Côte-d'Or) et Le Creusot (Saône-et-Loire).
Avec un carnet de commandes seulement rempli jusqu'à la fin août, "cela fait quelques mois que la situation financière de l'entreprise n'est pas bonne", avoue Jérémy Bertrand, délégué CGT Francéole, à France Bleu. Malgré son chiffre d'affaires de 30 millions d'euros, la trésorerie de Francéole ne couvrira les besoins de la société que jusqu'au début octobre. Mais rien n'est encore perdu pour l'entreprise puisqu'une nouvelle audience au tribunal de commerce de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) aura lieu le 6 juillet.
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Francéole est né en 2012 du regroupement de Siag au Creusot et Céole à Longvic. L'entreprise s'était fixé comme ambition qu'un mât sur deux installé en France soi produit par Francéole. Mais elle n'a jamais réussi à franchir le seuil d'un mât sur trois.
Pierre Monnier
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