La Commission européenne vient d'épingler Engie pour optimisation fiscale. Elle demande au Luxembourg de récupérer 120 millions d’euros d’impôts non payés suite à un montage financier datant de 2010. Cela fait un peu désordre pour un groupe qui veut devenir l’entreprise préférée des talents et des clients en démontrant que le progrès peut être harmonieux, éthique, responsable et durable.
Mais ce n’est pas la seule casserole que traîne Engie. Alors qu’elles sont amenées à fermer d’ici à 2025, ses centrales nucléaires belges vont plomber ses résultats. Leur révision devrait coûter 250 millions d’euros à Engie.
Charbon, nucléaire et optimisation fiscale
Toutefois, la plus lourde des casseroles d’Engie concerne ses centrales à charbon, encombrant héritage de l’acquisition de l’électricien britannique International Power en 2011. Certes, Isabelle Kocher a décidé de sortir son groupe du charbon. Et elle vient d’annoncer qu’Engie allait cesser toute exploitation de[…]
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