Divisée, la CGT perd Renault Douai
Le temps où la CGT était puissante à Renault Douai est bel et bien révolu. N'ayant pas franchi la barre des 10 %, le syndicat n'est plus représentatif au sens de la loi de 2008 : il ne participera donc pas à la signature d'accords et n'aura plus de délégués syndicaux. Ce résultat s'explique par la division entre les historiques, menés par Jean-Paul Delannoy, l'un des principaux opposants à Bernard Thibault, et une liste soutenue par la centrale de Montreuil.
\ 00h00
Cet article est réservé à nos abonnés L'Usine Nouvelle
Soutenez un journalisme d'expertise.