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Les concessions, les points non négociables… Les révélations d’Eric Trappier (Dassault) sur le SCAF
Malgré les problèmes de partage industriel avec Airbus et de propriété intellectuelle, le patron de Dassault Aviation veut sauver le programme de système de combat aérien du futur (SCAF), le futur avion de combat européen financé par l’Allemagne, l’Espagne et la France. Mais pas à n’importe quel prix. Décryptage.
Mis à jour
22 avril 2021
Les prochaines semaines s’annoncent décisives pour le futur avion de combat européen. Le programme de système de combat aérien du futur (SCAF) vise à remplacer les Rafale français et les Eurofighter allemands et espagnols à l’horizon 2040. A l’occasion de son audition par les sénateurs le 10 mars, Eric Trappier le PDG de Dassault Aviation, chef de file industriel pour la France, est revenu sur les principales difficultés survenues, plus particulièrement pour le développement de l’appareil lui-même. Dans ce programme où la France a été désignée comme nation leader, le dirigeant évoque des difficultés liées au partage du travail avec ses partenaires industriels, de propriété industrielle, de maîtrise d’œuvre… Pourtant le patron du Rafale veut toujours croire à un accord, quitte à remettre en cause les principes de l’organisation originale. Sur quels points l’avionneur français a-t-il déjà fait des concessions ? Sur quels points refuse-t-il de transiger ? Où en sont vraiment les négociations ?
Les (lourdes) concessions déjà faites par Dassault Aviation
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