15 jours gratuits et sans engagement
Le média en ligne écrit qu'un intermédiaire indien spécialisé dans les marchés d'armement est mis en cause dans une enquête sur des soupçons de corruption qui touchent entre autres au contrat de vente de 36 Rafale à l'armée indienne pour 7,8 milliards d'euros conclu en 2016.
"De nombreux contrôles sont exercés par des organismes officiels parmi lesquels l'Agence française anticorruption. Aucune infraction n'a été signalée, notamment dans le cadre du contrat avec l'Inde pour l'acquisition de 36 Rafale", a déclaré un porte-parole de Dassault Aviation dans un communiqué.
Ce contrat "a été établi de gouvernement à gouvernement", ajoute-t-il, et il est exécuté "en toute transparence entre les différents partenaires tant étatiques qu'industriels".
S'exprimant lors d'un point de presse quotidien, la porte-parole du Quai d'Orsay a relevé que le contrat signé entre les gouvernements français et indien "porte sur les seules obligations du gouvernement français de s'assurer de la livraison et de la qualité de cet équipement".
"Le gouvernement français n'est en aucune façon impliqué dans le choix des partenaires industriels indiens qui ont été, sont ou seront sélectionnés par les industriels français", a-t-elle ajouté. "En aucun cas nous ne validons les éléments de l'article de Mediapart".
(Marc Angrand et Jean Terzian, édité par Nicolas Delame)
Conférence
MATINÉE INDUSTRIE DU FUTUR
100% digital , live et replay - 27 mai 2021
Gestion industrielle et Production
Comment rebondir après la crise 2020 et créer des opportunités pour vos usines
Formation
Espace de travail et bien-être des salariés
Paris - 01 juin 2021
Services Généraux
Optimiser l’aménagement du bureau