Des aéroports qui tournent au ralenti, des flottes d’avions clouées au sol depuis plusieurs mois, une filière industrielle en pleine tourmente… Rien ne semble pouvoir saper le moral des élèves-ingénieurs de l’Isae-SupAero (Institut supérieur d’aéronautique et de l’espace), comme de l’Énac (École nationale d’aviation civile). Les deux grandes écoles toulousaines n’ont rien perdu de leur attractivité. Pourtant, le constat est bien là. Après plusieurs années de croissance ininterrompue, le marché de l’emploi s’effondre dans l’aérien et Toulouse, reconnue capitale européenne de l’aéronautique et du spatial, est aux premières loges.
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