“D’ici 2022, nous voulons certifier la motorisation d’un petit avion électrique”, annonce le fondateur de Faraday Aerospace
Fondée en 2018 par un ancien d'Airbus, la start-up française Faraday Aerospace veut se spécialiser dans la certification et le développement des systèmes de propulsion des aéronefs. Le dirigeant de la jeune pousse, Gilles Rosenberger, dévoile ses projets.
Mis à jour
26 mars 2020
En 2017, Airbus abandonnait E-Fan, son projet d’avion biplace 100 % électrique. Mais les équipes derrière le projet n’ont pas enterré l’idée de développer les systèmes de propulsion électrique dans le transport aérien. Ancien directeur des opérations de Voltair (la filiale d’Airbus qui a développé l’E-Fan), Gilles Rosenberger a fondé la start-up Faraday Aerospace en 2018.
Aujourd’hui, la start-up est installée à Versailles (Yvelines) et compte cinq collaborateurs. Elle souhaite devenir l’un des premiers acteurs français à se spécialiser dans la motorisation des petits avions électriques et des VTOL (Vertical Take-off and Landing aircraft). La start-up a été incubée chez IncubAlliance à Paris-Saclay et fait partie de l’accélérateur parisien de la deep tech Wilco. Dans un entretien avec L’Usine Nouvelle, Gilles Rosenberger explique ses projets et analyse le marché des taxis volants.
L’Usine Nouvelle. - Quelles sont les origines de Faraday Aerospace ?
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