Quotidien des Usines
Bloqués par la neige, les salariés du Technocentre Renault écoutent du Sinatra
Transports et logistique
Neige: l'Ile-de-France se débloque progressivement
Quotidien des Usines
Nucléaire: La gestion de crise sert aussi en cas de neige
Quotidien des Usines
Immobilisés in situ, les salariés de Thalès ont dormi sur des cartons
Quotidien des Usines
Neige: "Ce matin, nous n’étions qu’un tiers des effectifs sur les lieux de travail."
Environnement
Contre les flocons qui collent à la route, la saleuse électrique
La filière de sel est-elle prête à affronter un hiver rigoureux?
Neige: les transports gèlent, pas les coûts
Intempéries dans l’Ouest : Flocons 1 – Industrie 0
Transport
Routes: Les stocks de sel fondent comme neige au soleil
« Les clients sont plus pressés que les plannings », indique en souriant Marc Védrenne, aux manettes de Mécagil-Lebon. «On a toujours eu un coup de froid en septembre, mais jamais de la neige en novembre! La météo constitue un rappel pour mes clients». Venu montrer sa dernière innovation au salon Pollutec à Lyon, il avait déjà déjoué les frimas : tandis que les visiteurs avaient attendu des heures que les navettes affrontent les chutes de neige, ce dernier était reparti en voiture, à 22 heures. « Ca roulait bien et j’ai gagné du temps ».
Fabricant français de matériel d’hivernage, Mecagil-Lebon a concocté une gamme de saleuses plutôt « vertes » dans le domaine du matériel de déneigement. Fruit de 24 mois de recherches et d’essais, les saleuses Avizzo ont une motorisation électrique, à la différence des saleuses traditionnelles entraînées à l’aide d’un moteur thermique ou faisant appel à une technique hydraulique. Elles fonctionnent sans gestion de carburant. « La saleuse est simplement raccordée à la batterie du camion », explique Marc Vedrenne.
« Nous ne sommes pas les premiers à avoir eu l’idée », reconnaît-il. « Les Etats-Unis et le Canada utilisent ce genre de saleuses électriques mais pour de petits volumes ». Et puis, « les normes sont plus restrictives en France qu’au Canada. Tous les camions doivent être présentés à la DRIRE pour conformité ». Sa saleuse électrique a passé le test et permet quant à elle de gros volumes. Prix de la convoitée : autour de 26.000 euros. La vile de Brétigny sur Orge en a déjà acheté une pour ses voiries.
Conférence
MATINÉE INDUSTRIE DU FUTUR
100% digital , live et replay - 27 mai 2021
Gestion industrielle et Production
Comment rebondir après la crise 2020 et créer des opportunités pour vos usines
Trophée
TROPHÉES DES USINES 2021
100% digital , live et replay - 27 mai 2021
Gestion industrielle et Production
Déposez votre dossier avant le 5 mars pour concourir aux trophées des usines 2021
Formation
Espace de travail et bien-être des salariés
Paris - 01 juin 2021
Services Généraux
Optimiser l’aménagement du bureau