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Le gouvernement français ne veut pas être perçu comme le trouble-fête du mariage Renault - Fiat-Chrysler Automobiles (FCA). À la surprise générale, le groupe italo-américain a retiré son offre le 5 juin en dénonçant des conditions politiques défavorables en France. Jeudi 6 juin, le ministre de l'Économie répond officiellement et livre sa version des faits.
Il a été mis en cause directement par Fiat-Chrysler Automobiles (FCA). Le gouvernement français réagit à l’annonce du groupe italo-américain. Contre toute attente, moins de deux semaines après avoir présenté son offre de fusion avec Renault, FCA a retiré son offre dans la soirée du 5 juin. Jeudi 6 juin, au matin, le ministre de l’Économie et des Finances donne sa version des faits.
Le gouvernement français défend son “ouverture”
“Dès la présentation de cette offre, l’État actionnaire de Renault à 15,1%, l'a accueillie avec ouverture et a travaillé de manière constructive avec l’ensemble des parties prenantes”, écrit le cabinet de Bruno Le Maire dans un communiqué.
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Le ministre rappelle ses quatre conditions : réaliser l’opération dans le cadre de l’alliance Renault-Nissan, préserver les emplois industriels et les sites industriels français, assurer “une gouvernance respectueuse des équilibres de Renault et FCA” et enfin que la structure Renault-FCA participe à l’Airbus des batteries.
FCA trop impatient ?
Vraisemblablement, les trois dernières garanties avaient été obtenues par Renault et le gouvernement. “Il restait à obtenir un soutien explicite de Nissan”, indique le ministère de l’Économie. “L'État a donc souhaité que le conseil d'administration dispose d'un délai additionnel de cinq jours pour s’assurer du soutien de l’ensemble des parties prenantes”, ajoute-t-il. Problème : FCA ne souhaitait pas attendre jusque là et a donc retiré son offre.
Le gouvernement français était-il trop exigent ? Le groupe italo-américain s’est-il montré impatient ? C’est pour l’instant la raison officielle à l’échec du rapprochement entre Renault et FCA. Il demeurait néanmoins de nombreux autres obstacles à cette fusion : l’intégration de Nissan dans le projet, une valorisation en Bourse défavorable pour Renault, l’éventuelle emprise de la famille Agnelli sur une nouvelle structure Renault-FCA…
Le gouvernement tient désormais à relativiser l’échec du mariage. “Renault, au sein de l’Alliance, détient l’ensemble des atouts pour relever les défis auxquels fait face le secteur de l’automobile notamment en matière de véhicule électrique et de réduction des émissions”, argumente le cabinet de Bruno Le Maire.
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