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Comment Gravotech veut marquer l'industrie 4.0
Le fabricant de machines de gravage veut s’intégrer davantage dans les chaînes de production avec des solutions plus communicantes.
Entre la première machine à graver et la dernière des stations de marquage laser de Gravotech, il y a tout un monde. Une histoire qui remonte à la création de la société à New York, en 1938, par un Allemand qui avait fui le nazisme. Le président du groupe, Gérard Guyard, conserve d’ailleurs précieusement le premier pantographe vendu à un bijoutier de la 42e Rue.
De la gravure à la traçabilité, de la personnalisation de bijoux et de flacons de parfum au marquage permanent et au codage de pièces automobiles et industrielles, Gravotech s’est ingénié au fil des décennies à ajouter des briques technologiques à ses machines, adoptant la micropercussion en 1986 ou encore intégrant en 2000 un premier laser à ses solutions. Le tout en consolidant sa structure autour de deux pôles – l’un à Duluth (Minnesota), l’autre à Lyon (Rhône), siège de la société et de son centre de R & D – et de deux usines situées à Troyes (Aube) et à Shanghai (Chine).
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