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Coeur artificiel Carmat : le deuxième greffé est rentré chez lui et peut mener "une vie normale"
Dans le Parisien ce 19 janvier, le professeur Carpentier donne des nouvelles du deuxième patient ayant reçu un cœur bioprothétique Carmat. L'homme, âgé de 68 ans, se porte bien et peut mener une vie "normale" et autonome.
Le patient de 68 ans ayant reçu un cœur bioprothétique Carmat le 5 août dernier à Nantes a pu rentrer chez lui le 2 janvier, indique le professeur Carpentier dans une interview au Parisien. Auparavant, l'équipe médicale s'était assurée que le patient pouvait utiliser l'appareillage portatif associé à la prothèse (deux batteries et un panneau de contrôle) en tout autonomie.
Pour cela, l'homme a "reçu une formation au fonctionnement de ce système portable, électrique et silencieux", explique Carmat dans un communiqué. "C'est le plus léger de tous les dispositifs disponibles pour l'alimentation d'un coeur artificiel total. Il offre aux patients mobilité et autonomie dans d'excellentes conditions".
Le greffé, marié et père de deux enfants (mais qui tient à rester anonyme), va bien, se félicite l'inventeur de la prothèse. "Il peut désormais vivre chez lui, aller et venir en toute autonomie", explique le quotidien. "Il nous a raconté être allé déjeuner sans aucune assistance technique chez son fils à 70 km de Nantes. N'est-ce pas la plus belle démonstration d'une vie normale ?", s'enthousiasme le médecin.
l'arrêt de la premier prothèse "multifactoriel"
Celui-ci revient également pour Le Parisien sur les raisons de l'échec de la première greffe sur un malade de 76 ans, Claude Dany, qui était décédé 74 jours après l'opération. "Les causes de l'arrêt se sont révélées multifactorielles. Une part des difficultés étaient liées à la condition même du malade : son âge, sa maladie plus avancée, sa vie menacée à quelques semaines" et "son état général, rénal en particulier, plus atteint que ce que nous pouvions supposer".
Entre les deux opérations, "des ajustements ont été apportés" au cœur artificiel. Les leçons tirées du premier cas ont également permis de réduire la durée de l'intervention chirurgicale (six heures au lieu de huit).
Regardez l'interview du professeur Carpentier par le journal Le Parisien
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