La revanche annoncée de l'hydrogène jaune et bleu sur l'hydrogène vert
L'analyse d'Aurélie Barbaux, grand reporter énergie et industrie durable à L'Usine Nouvelle.
La géopolitique de l’hydrogène s’annonce colorée. La Russie, qui, comme la France, a dévoilé un plan hydrogène l’été dernier, compte exporter 200 000 tonnes d’hydrogène en 2024 et 2 millions de tonnes à l’horizon 2035. Mais pas de l’hydrogène vert, produit par électrolyse de l’eau avec de l’énergie renouvelable. L’hydrogène russe sera bleu, c’est-à-dire produit à partir de gaz naturel avec captage de CO2, ou jaune, à base de nucléaire.
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