Tout le dossier Tout le dossier
-
Constructeurs
Comment Renault veut devenir le groupe "le plus vert" d’Europe
-
Auto
[Vidéo] Nouvelle Renault 5, Alpine passe à l'électrique... L'essentiel du nouveau plan stratégique de Renault
-
Auto
4L, R5, Alpine… Le groupe Renault sur le point de faire sa "Renaulution"
-
Auto
Les syndicats de Renault en attente de projets pour la France
-
Constructeurs
Chez Renault, le plan de départs prépare aussi l’avenir
-
Auto
Qui est Plug Power, avec qui Renault crée une co-entreprise dans l'hydrogène ?
-
Auto
Pourquoi Renault a des raisons d’espérer pour 2021, après une année 2020 difficile
-
Auto
[Repères] Cinq chiffres-clés sur le groupe Renault avant la présentation de son plan stratégique
-
Auto
Ce que pensent les syndicats du nouveau plan stratégique de Renault
-
Auto
Pourquoi Dacia et Lada font désormais cause commune
Chez Renault, le plan de départs prépare aussi l’avenir
Renault ne pourra pas réaliser le plan stratégique qui sera présenté le 14 janvier sans les compétences capables de le mettre en œuvre. L’accord de "transformation des compétences" signé en novembre avec les syndicats organise les départs des salariés de l’ingénierie et des fonctions support, mais se préoccupe aussi de ceux qui restent.
Janvier voit les premiers départs volontaires de salariés de Renault. L’accord "de transformation des compétences" signé le 20 novembre 2020 entre la direction de Renault et trois de ses syndicats (CFDT, CFE-CGC, FO) acte la suppression, en France, de 2500 postes dans l’ingénierie et les fonctions support. Avec les 600 départs naturels de 2020, 1900 salariés, volontaires, ont jusqu’à fin septembre 2021 pour partir dans le cadre d’une rupture conventionnelle collective. Certains ont commencé à quitter l'entreprise, parfois sans retourner travailler au bureau après plusieurs semaines de confinement...
Mais l'accord de l'automne ne vise pas uniquement à réduire les coûts. "L’accord ajuste certes la ressource, mais il veille aussi, dans l’intérêt de l’entreprise et de ses salariés, à prendre soin de ceux qui restent", analyse le DRH France du groupe, Tristan Lormeau. Avec deux grands leviers : organiser mobilités et formations pour que ceux qui restent se tournent vers les métiers dont le groupe aura besoin à l’avenir, et "protéger ceux qui restent, en termes de charge de travail", selon le DRH.
Cartographie des compétences
[...]Cet article est réservé à nos abonnés L'Usine Nouvelle
Soutenez un journalisme d'expertise.
VOS INDICES
source
SUR LE MÊME SUJET
PARCOURIR LE DOSSIER