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Céréales, porc, oléagineux… Comment le coronavirus affecte les exportations agricoles
Les exportations françaises de porc, d'oléagineux et de céréales ont plus ou moins pâti de l’épidémie de Covid-19 selon leur exposition à la Chine et à la croissance économique mondiale. Certaines restent en attente de débarquement, après l'effondrement du fret.
Dans le sillage du pétrole, dont la demande dévisse sous l’effet d’un ralentissement économique lié à l’épidémie de coronavirus (Covid-19), les marchés agricoles enregistrent aussi des baisses de prix. Les oléagineux constituent la catégorie la plus touchée. Depuis le début de l’année 2020, les cours du colza ont perdu 10%. Une partie de ces produits étant transformée en agrocarburants, notamment en biodiesel, ils font les frais, dans des proportions moindres, des restrictions de transports.
"Les prix du fret se sont écroulés, puisque l'on a de la marchandise qui ne se transporte plus", rebondit Michel Portier, fondateur du cabinet de conseil en gestion des prix agricoles Agritel. Entre le 2 janvier et le 3 mars, le Baltic Dry Index, l’indice qui mesure le transport en vrac de matières sèches, a perdu 44,8%, à 539 points. Sur le Baltic Capesize, qui reflète l’activité des vraquiers de 170 000 à 180 000 tonnes, les valeurs sont désormais négatives (-348 au 3 mars, en recul de 121 % depuis le début de l’année). De quoi raviver le débat sur le changement de composition de ces indices, intervenu en 2018.
Les céréales peu touchées [...]
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