Ce que promet le contrat de filière mines et métallurgie
Des standards de référence pour la mine responsable, la digitalisation des mines et carrières et une filière de recyclage des batteries au lithium, ce sont les trois promesses principales du contrat de filière signé le 18 janvier à Bercy par la secrétaire d’Etat Agnès Pannier-Runacher et la présidente du Comité stratégique de la filière mines et métallurgie Christel Bories.
Après un an et demi de travail, le contrat de la filière Mines et métallurgie, élaboré au sein du Comité stratégique de filière, a été signé le vendredi 18 janvier dans une salle de réunion du ministère de l’Economie et des finances. Premières signataires, deux femmes : la PDG d’Eramet Christel Bories, qui préside le CSF, et la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances Agnès Pannier-Runacher. Souhaitons que ce soit un signal faible d’un monde qui change, dans une filière qui reste beaucoup plus masculine que ses instances de représentation.
"L’objectif de ce contrat de filière est de réunir les forces des entreprises, des organisations syndicales et les services de l’Etat pour construire des projets très concrets autour des compétences qui manquent à la filière, de la transformation et de l’innovation notamment en matière numérique, et de la réduction de l’empreinte écologique pour que l’ensemble de ces entreprises, qui se situent très en amont de beaucoup d’autres sites industriels, se situent aux meilleurs standards du marché, qui est très concurrentiel", a déclaré Agnès Pannier-Runacher après la signature.
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