Ce ratio de fonds propres est ressorti à 12,4%, alors que les analystes ne l'attendaient qu'à 11,8%.
La banque a annoncé également un bénéfice imposable annuel ajusté de 3,2 milliards de livres (3,8 milliards d'euros), contre 1,14 milliard un an auparavant, inférieur au consensus des analystes livré par elle-même qui était de 3,97 milliards.
L'action gagnait 2,8% à 241,70 pence dans les premiers échanges.
Barclays a dit qu'elle fermerait la structure où sont cantonnés les actifs à céder en juin, soit avec six mois d'avance. Ces cessions d'actifs s'intègrent dans une stratégie de recentrage sur les Etats-Unis et la Grande-Bretagne.
"Nous n'en avons plus que pour quelques mois avant d'avoir acheté le restructuration de Barclays et je suis plus optimiste que jamais pour 2017 et au-delà", a dit le directeur général Jes Staley.
"Nous sommes bien placés pour absorber les aléas des années à venir. Il reste un héritage du passé à absorber et nous progressons en ce sens", a-t-il ajouté.
Le département américain de la Justice a intenté en décembre une action en justice pour fraude contre la banque britannique pour son rôle dans la vente de produits adossés à des créances hypothécaires avant la crise financière de 2008.
Barclays est la seule grande banque, jusqu'à présent, à contester l'accusation plutôt qu'à transiger.
La banque a par ailleurs passé un accord avec sa division africaine sur les conditions de leur séparation, au terme de laquelle Barclays Africa recevra 12,8 milliards de rands (939 millions d'euros) pour financer des investissements exigés par la scission.
(Lawrence White et Andrew MacAskill, Wilfrid Exbrayat pour le service français)
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