A l’heure qu’il est, Henri, étudiant en quatrième année à l’École supérieure d’agricultures (ESA) d’Angers (Maine-et-Loire), aurait dû entamer ses deux dernières semaines de stage en Russie, chez Bonduelle. Mais c’est finalement dans le sud de la France qu’il conclut quatre mois de recherches sur les maladies liées au tabac, au sein d’Arvalis-Institut du végétal. La raison ? Au début de l’épidémie, son école a décidé d’annuler tous les départs à l’étranger. Un changement qui n’enchante pas l’étudiant, pour qui ce voyage en Russie était une étape clé de son projet professionnel. "Je voulais apprendre le russe pour éventuellement travailler en Europe de l’Est, explique-t-il, amer, quant à la gestion de la situation par son école. Nous avons été avertis de l’annulation à la mi-avril. Nous avions un mois pour dégoter un stage, peu importe s’il nous intéressait, et l’accompagnement a été sommaire."
Des stages décalés ou à distance
Pour un accès immédiat, payez en ligne par carte bleue
En vous abonnant à L’Usine Nouvelle, vous accédez à :
- Une vision unique de l’industrie en France et dans le monde
- Une couverture inégalée de l’actualité des usines en région
- Un décryptage exclusif de la digitalisation de l’industrie et des services
- La base de référence des 20 000 premières entreprises et sites industriels

Connectez-vous
Abonnez-vous
Vos codes d'accès sont erronés, Veuillez les saisir à nouveau.