Après Renault, c'est au tour du groupe PSA d'être perquisitionné
Le groupe PSA a été perquisitionné par la répression des fraudes sur cinq de ses sites français, ce 21 avril. Cela fait suite à l’enquête débutée après le scandale Volkswagen. En janvier, Renault avait eu droit au même traitement.
Cette perquisition s’inscrit dans le cadre d’une enquête, lancée après le scandale Volkswagen, sur les émissions polluantes dans le secteur automobile. La DGCCRF est habilitée à se rendre chez l’ensemble des constructeurs pour vérifier qu’aucun moyen de falsifier les tests d’homologation des véhicules n’est présent ou utilisé.
PSA reste "confiant"
Le premier constructeur français s’est alors défendu de tout soupçon dans un communiqué. "PSA confirme la conformité de ses véhicules en matière d’émission de polluants dans tous les pays où il opère. Confiant dans ses technologies, PSA collabore pleinement avec les autorités compétentes."
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Lors du scandale Volkswagen, Ségolène Royal, la ministre de l’Ecologie, avait demandé une série de tests pour vérifier les émissions des véhicules en condition réelle de conduite. Ces tests avaient révélé des anomalies sur des modèles Renault et déclenché les perquisitions de la DGCCRF. Le groupe PSA aurait très probablement subi le même sort.
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