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Année test pour l'e-Noël
Gare à l'optimisme ! Pour cette fin d'année, les cabinets d'analyse rivalisent d'annonces sur l'e-Noël, et les chiffres vont parfois d'un extrême à l'autre. Pour certains, l'explosion enregistrée l'an dernier aux Etats-Unis pourrait atteindre l'Europe en 1999. Pour d'autres, en revanche, la prudence reste de mise. L'an passé, en effet, les consommateurs américains s'étaient rués sur les sites marchands. En quelques semaines, les ventes en ligne avaient atteint plus de 18 milliards de francs, alors que seuls 8 % des internautes étaient acheteurs ! Et, cette année, le phénomène ne devrait pas faiblir. Selon la dernière étude de Harris Interactive, près de 72 millions d'internautes américains utiliseront la Toile pour acheter ou rechercher des idées de cadeaux. Seuls 33 % d'entre eux passeront véritablement commande. Mais ces acheteurs dépenseront plus, avec un panier moyen de 346 dollars, contre environ 297 dollars en 1998. De quoi donner des idées aux Européens ? Les spécialistes restent prudents. Selon eux, les ventes de l'e-Noël ne devraient pas dépasser 12 milliards de francs en Europe. " Il y aura bien une forte augmentation du commerce électronique pendant les fêtes de fin d'année, mais je ne pense pas qu'un vérita- ble phénomène de Noël sur Inter- net soit en train de se préparer. L'augmentation n'est que la résultante des forts taux de croissance du nombre de connectés en France, au Royaume-Uni, mais aussi en Espagne ", confirme Martha Bennett, analyste du cabinet spécialisé Giga Group. Quant à la France, elle restera à la traîne du Royaume-Uni, de l'Allemagne et des pays scandinaves, où les connexions sont plus nombreuses. Pourtant, les cybercommerçants français veulent y croire. " L'an passé, l'e-Christmas a donné de la crédibilité au commerce électronique auprès du grand public. C'est bien la leçon qu'il faut tirer de l'expérience américaine ", s'enthousiasme Bruno Crémel, patron de la nouvelle entité dédiée à Internet de Pinault-Printemps-Redoute. Un point de vue que partage Alexandre Basdereff, cofondateur de Chateau Online, un site spécialisé dans la vente de vins et champagnes : " Le thème de l'e-Noël a été évoqué tout au long des négociations de notre second tour de table, en juillet dernier. Et nous avons réuni 62 millions de francs pour être prêts. " Les investisseurs du capital-risque ne s'y trompent donc pas. Noël peut permettre à une marque de s'imposer en quelques semaines sur le Web.
De nouveaux entrants veulent profiter de la saison
Pour les marchands purement virtuels, la période des fêtes s'annonce capitale. Le site de Marcopoly commercialise du matériel hi-fi, vidéo et électroménager depuis fin 1997. Cette année, près de 50 % de son chiffre d'affaires (2 millions de francs) reposera sur les ventes de Noël. De nouveaux entrants espèrent eux aussi profiter de la saison pour s'installer sur Internet. AbCool et son P-DG, François Benveniste, tablent sur un chiffre d'affaires de 250 000 francs sur les deux derniers mois de l'année, et 12 millions dès l'année prochaine. Avec son partenaire, le grossiste Partner Jouet, il a investi 18 millions de francs pour lancer, au début du mois de novembre, un site dédié aux jouets et jeux vidéo. Sophie Jabès, cofondatrice et productrice artistique de hoolashop.fr, a, elle aussi, choisi Noël pour lancer son activité. Le site, spécialisé dans la décoration de la maison et les arts de la table, est la boutique cadeaux d'un site baptisé decoralia.com. Dans un an, l'offre devrait atteindre 10 000 produits. Objectif : un chiffre d'affaires de 500 millions de francs d'ici à cinq ans. Face à ces convaincus, certains restent modérés. Mais pas forcément inactifs. " La majorité de nos commandes se fait encore par courrier et par téléphone ", tempère Pierre-Henri Morel, directeur général de JouéClub. Sa filiale de VPC, JouéClub Express, vend en ligne depuis trois ans. Internet ne représentera pas plus de 1 % du chiffre d'affaires du vépéciste, mais le nombre de commandes devrait être multiplié par un coefficient de 10 à 15 par rapport à 1998.
L'Internet gratuit a accéléré le marché
Une progression observée avec attention par Bertrand Leficher, qui a présidé au lancement du fournisseur d'accès américain AOL en France avant de devenir P-DG de la filiale française de Boxman, un disquaire en ligne suédois. " L'arrivée de l'Internet gratuit a accéléré le marché, remarque-t-il. Le profil des internautes s'oriente de plus en plus vers le grand public. " Cependant, les nouveautés, produits typiquement grand public, ne représentent que 40 % des ventes de Boxman, tandis que les disques sortis il y a un ou deux ans se partagent les 60 % restants. " Internet est toujours perçu comme un moyen alternatif de commande de disques que l'on ne trouve pas en magasin. Le véritable e-Noël, je l'attends en 2000", prédit le même spécialiste. Aux Trois Suisses, qui espèrent un Noël " très prometteur " pour leur deuxième année de vente en ligne, la logique de test prime en- core cette année : " Notre objectif est de tester le marché avec un maximum de partenaires, pour être très visible à l'avenir ", explique Matthias Papet, directeur du marketing Internet. Le vépéciste am- plifie sa présence sur le Web : publicité, accords avec AOL, Yahoo !, Wanadoo ou Multimania... Et son portail s'enrichit de sites dédiés aux jouets, aux petits prix, et bientôt à la décoration de Noël et aux tenues pour le réveillon.
Un bon moyen de découvrir et comparer les produits
Les commerçants savent aussi que l'e-Noël, cela peut aussi amener... plus d'acheteurs dans les maga- sins. " Internet est un bon moyen de découvrir et de comparer les produits à distance, remarque Dominique Maupu, responsable du développement Internet chez Darty. Beaucoup de clients viennent acheter les produits en magasin, avec une fiche obtenue sur le site. " Et Bruno Crémel, de PPR Interactive, ne se leurre pas : " De toute façon, nos clients vont acheter en magasin, mais ils auront arrêté leur choix sur le Web. Nous bénéficions de la complémentarité multicanaux. " C'est d'ailleurs sans boutique, mais aussi sans stock, que la start-up Rue du Commerce compte séduire les cyberconsommateurs. Elle pourrait ainsi concurrencer des enseignes comme la Fnac Micro, alors qu'elle n'emploie qu'une dizaine de personnes. Cette situation agace les plus réticents au commerce électronique, forcés d'entrer rapidement sur le marché. Même s'ils ne sont pas en mesure de proposer une offre dès cette année. C'est le cas de la grande distribution. " Ce que l'on voit actuellement sur le marché nous fait dire que l'on a raison d'attendre : aucun site n'est rentable. On manque encore de lisibilité, même s'il est sûr que l'on finira par se lancer ", indique-t-on chez Carrefour. Leclerc a retardé plusieurs fois le lancement de ses sites dédiés aux mondes du jouet, des bijoux et des voyages.
Les réticents restent nombreux
Auchan avoue réfléchir à la question. " Car, si c'est facile de mettre des livres et des CD dans une boîte aux lettres, ça l'est moins pour une machine à laver ", souligne Thierry Cavrois, responsable de projet Internet. Seul Casino affiche une certaine expérience. Lancé à la toute fin de 1997, le site du stéphanois s'est, depuis, enrichi de plusieurs secteurs (sports, multimédia, vacances, vins...), accessibles à partir du portail c-online.fr. Pour fidéliser les internautes, le site proposera à partir du 1er décembre une offre intitulée " Un prix, un produit ". Si les réticents sont nombreux, c'est que l'exercice n'est pas sans difficulté. " Les clients ont le même niveau d'exigence sur le Net qu'ailleurs, estime Christian Le Drian, directeur général d'Ifatec, filiale spécialisée dans l'e-business d'Euriware. Les marchands tardent à le comprendre et à intégrer Internet comme nouveau canal. Cas classique : un client va sur le Web acheter un produit et réalise qu'il a oublié quelque chose. Le centre d'appels qu'il va contacter n'a souvent au- cune trace de sa commande ! Il ne faut pas faire un site marchand, mais un site vendeur. Les marchands, continue le directeur, doivent réaliser que, sur Internet, c'est du vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept ! Il ne faut en aucun cas sous-estimer la déception. " Car, si les marchands proposent une offre plutôt complète et si les consommateurs connectés se laissent convaincre, il faut encore que, techniquement, les sites tiennent le coup. Tout à sa fringale d'achats de Noël, le cyberconsommateur traîne à confirmer sa transaction en ligne. Et, si la sécurisation des paiements demeure la principale angoisse des internautes (voir l'encadré ci-dessous), il faut aussi impérativement accompagner le consommateur jusqu'à la caisse. Pas question de le laisser attendre de longues minutes pour voir la photo d'un produit, ou, pis encore, de l'abandonner au beau milieu d'une transaction.
Gare aux pannes de Noël !
" Ma seule crainte, c'est d'être débordé ! Nous sommes en train de revoir notre hébergement pour pouvoir accueillir tous les internautes et leur garantir une vitesse d'accès de même qu'une sécuri- sation à niveau. Il faut aussi que notre base de données tienne le choc : prix mis à jour, disponibilité chez les constructeurs... ", témoigne Patrick Jacquemin, fondateur de rueducommerce.fr. En prévision d'une période de Noël très chargée, le site , telle une boutique, a préféré " fermer " une journée, mi-novembre, pour tout vérifier. Un internaute mécontent ne revient jamais. Mieux vaut alors être en mesure de répondre à ses questions, notamment sur la disponibilité des produits. Si un consommateur cherche un livre qui n'est pas en stock chez amazon.com, le site lui propose un second choix répondant à ses attentes. Sans aller jusque-là, les cybercommerçants ont prévu des stocks en conséquence, du moins l'espèrent-ils. " Je ne m'inquiète pas, nous avons déjà réservé des stocks sur les produits qui seront très demandés : Palm Pilot, scanners, graveurs, etc. ", précise le P-DG de Rue du Commerce. Même discours à la Fnac : " Sur les 100 000 produits livrables en quarante-huit heu- res, nous tiendrons la distance ! ", confirme Jean-Christophe Hermann, P-DG de Fnac Direct. D'autres préfèrent relativiser : " Noël va représenter 75 % de nos ventes. Et, si nous sommes dépassés, ce sera bon signe pour nous ", s'amuse Stéphanie Brault, responsable du marketing de franceartdevivre.com, spécialiste de l'alimentation du Sud-Ouest.
Les responsables des sites restent prudents
Encore faut-il que les cadeaux arrivent à destination. Et de préférence emballés avec soin, en bon état, etc. Pour cela, les marchands s'en remettent un peu trop aux transporteurs, accusés de tous les maux. Mais les consommateurs ne retiennent qu'une chose, en cas de problème : le nom du commerçant qui les a " trahis ". Les responsables des sites, tout en affichant un optimisme bon teint, restent donc prudents : " Jusqu'au 21 décembre, nous assurons. " Même s'ils conseillent de s'y prendre à l'avance. Et mieux vaut qu'ils assurent, effectivement. " Car, si les consommateurs devaient être déçus par le phénomène e-Noël, la croissance du commerce électronique en Europe en serait affectée au moins au premier trimestre de 2000 ", prévient Martha Bennett, l'analyste de Giga Group. Les nouveaux Pères Noël n'ont pas le droit à l'erreur.
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