La fusion va bientôt entrer en gare. Du moins, si l’on en croit le PDG d’Alstom Henri Poupart-Lafarge, qui dément les rumeurs selon lesquelles le closing pourrait être repoussé au premier ou deuxième trimestre 2019. En tout cas, le rapprochement entre les deux industriels du ferroviaire ne fait plus aucun doute, surtout depuis l’annonce du futur conseil d’administration, qui consacre la prédominance allemande avec six administrateurs sur 11, dont l’ancien ministre des affaires étrangères Sigmar H. Gabriel. "Il a de grandes compétences des marchés mondiaux et dans nos métiers", a justifié Henri Poupart-Lafarge, à l’occasion de la présentation à la presse le 16 mai des résultats 2017/18 de l'industriel français.
Fusion entre entreprises bien portantes
Le dirigeant se veut toujours optimiste pour cette fusion "d’égaux à égaux", selon les termes des deux parties. "Quand il y a fusion, c’est que généralement l’une des deux entreprises ou les deux vont mal. Là, il[…]
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