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Alstom-Bombardier, quatre questions qui fâchent
"On ne mesure pas la force d’une entreprise à son nombre d’usines, mais à sa santé financière". C’est avec cette phrase que Bombardier a soldé cinquante ans d’activité dans le ferroviaire, et acté la vente de son activité Transport à Alstom, après celle du programme A220 à Airbus. Selon le protocole d’entente signé le 17 février avec son concurrent canadien, le Français déboursera entre 5,8 et 6,2 milliards d’euros, en partie par échange d’actions. Mais d'importantes questions subsistent.
1 - Quel actionnariat ?
Le premier actionnaire d’Alstom deviendra la Caisse des dépôts et des placements du Québec (CDPQ), avec 18 % du capital. Ce fonds, qui gère les retraites des fonctionnaires québécois, est "un investisseur de long terme, déjà présent au capital d'entreprises françaises comme Keolis ou Suez Water", assure Henri Poupart-Lafarge, le PDG d’Alstom. Bouygues conservera 10 % du capital d’Alstom, contre 14,7% actuellement. Le nouveau Bombardier, réduit à l’aviation d’affaires, en détiendra provisoirement 3 %. Et ensuite ?
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