Airbus A350, recharge des voitures électriques, vaccin anti-Covid Valneva, Sartorius... Les cinq articles les plus lus de la semaine
Quels articles vous ont le plus intéressés cette semaine sur le site de L'Usine Nouvelle ? Dans notre top 5 : Airbus est confronté à la dégradation accélérée de la peinture de certains de ses A350, les points de charge pour les véhicules électriques nécessiteront de lourds investissements, Valneva s'allie à un sous-traitant allemand, IDT Biologika pour la production de son vaccin anti-Covid...
1 - Pourquoi Airbus est confronté à des problèmes de peinture sur certains A350
Certaines compagnies aériennes, dont Qatar Airways, font état de peinture craquelée sur certains de leurs Airbus A350. Des défauts qui tiennent à la difficulté à faire adhérer la peinture sur les matériaux composites, plus que sur l’aluminium.
2 - Pourquoi recharger sa voiture électrique sur autoroute coûtera quatre fois plus cher qu’à domicile
La charge rapide et ultra-rapide s'annonce comme clé pour le développement du véhicule électrique en France. Un nouveau marché qui nécessite de lourds investissements pour les aménageurs d'infrastructure et les énergéticiens comme TotalEnergies ou EDF.
3 - Valneva s'appuye sur un sous-traitant allemand pour muscler la production de son vaccin anti-Covid
Pour soutenir la production de son vaccin anti-Covid, le laboratoire franco-autrichien Valneva vient de nommer un sous-traitant allemand, IDT Biologika, pour l’aider à produire la substance active, en Allemagne.
4 - Sartorius va investir 100 millions d’euros sur trois sites français et embaucher 400 personnes
Sartorius va investir 100 millions d’euros en France. La grande majorité de la somme reviendra au site d’Aubagne (Bouches-du-Rhône) en vue d'augmentations de capacités de production, de R&D et de logistique. Le projet bénéficie de 18 millions d’euros d’aide dans le cadre du plan France relance.
5 - [L’instant tech] Neutrons rapides, caloporteurs à gaz, sels fondus… Les technos au coeur des réacteurs nucléaires de quatrième génération
Définie en 2001, la quatrième génération de réacteurs nucléaires imagine l’atome plus performant, plus sûr et plus propre. Une ambition forte, qui recouvre des technologies de rupture et des objectifs divers. Etats et start-up se positionnent.
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