Voilà six mois qu'est entrée en vigueur, au 1er janvier, l’obligation, pour les distributeurs de matériaux, produits et équipements de construction à destination des professionnels, dont la surface est supérieure ou égale à 400 m² et dont le chiffre d'affaires annuel est supérieur ou égal à 1 million d'euros, de reprendre les matérieux issus de déchets de chantiers. La Fédération du négoce de bois et des matériaux de construction (FNBM), qui a bataillé – en vain – contre ce texte relève, sans surprise, des difficultés dans sa mise en œuvre et se dit prête à travailler sur des évolutions de la mesure, tout comme le ministère de la Transition écologique et solidaire. Focus sur les cinq points qui cristallisent les tensions.
1. Un manque de place et de réseaux de collecte
D’après une enquête menée par la FNBM auprès de 1200 entreprises adhérentes, qui représentent 3019 points de vente sur les 5000 que compte la fédération, 65% des négoces déclarent avoir ont[…]
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